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Danse avec les loups
En ce Dimanche ( d’il y a deux semaines) très reposant, et ce sous diverses formes, j’ai eu l’occasion de découvrir le film Danse avec les loups de et avec Kevin Costner, et là, ma surprise a été des plus grandes en voyant que j’avais mis des années à voir ce chef-d’œuvre du septième art.
Mise en scène, décors, musique, ambiance, il faut reconnaître à Kevin Costner un certain talent pour illustrer ce qui s’avère être une fable sur l’homme et son environnement.
Le parcours initiatique du héros est tout simplement magistral dans son évolution, on en apprend beaucoup sur nous même, qui nous sommes ? Pourquoi sommes nous égoïste envers les autres et envers nous-même, pourquoi sommes nous cruels envers les plus faibles, les plus ‘différents’ ?
On enlève aux plus faibles et on se dit acquisiteur, mais aucun homme ne peut retirer la liberté de son prochain, de son frère, ou de son ennemi.
On a pris aux indiens leurs terres, leurs vies, mais même faible nombre ils seront toujours là, car la véritable Amérique c’est eux.
En faisant leur rencontre, Dunbar (Kevin costner) va découvrir une autre vie, la sienne.
Il va s’initier à une autre culture que la sienne, découvrir d’autres traditions, d’autres sensations.
En fait, il ne sera jamais seul, que se soit avec Chaussette (le loup), ou avec ses nouveaux frères.
La vie suivant ainsi son cours, ils mangera à leurs côtés, dormira avec eux, et se battra avec et pour eux.
Il y a beaucoup à dire sur un tel film car son contenu est énorme, alors je retiens mes larmes pour vous dire que la terre est sacrée et que si on regarde bien, il y aura toujours une plaine où nous planterons nôtre vie.
C’est confus, et peut-être mal écris, mais c’est sincère.
Je vous ai parlé d’un film qui m’a fait plaisir, qui m’a fait mal, mais qui s’est gravé à jamais dans mon cœur.
Si ce n’est pas fait, je vous conseille fortement ce film, non, ce tableau de mille couleurs empreint de liberté et de vérité.
Gros bisous et bon film