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Pleures écarlates

Avec le temps le temps, je m'aperçois que rien n'est acquis d'avance.On espère, on envie, on veut croire aux résultats d'une quête absolue, d'une quête sans fin.

On se dit qu'on veut être comme les autres ou tout au plus réussir à faire ce qu'ils font.Nous voulons être les meilleurs, et le résultat est là; nous ne sommes rien...

Nous sommes à part car nous partons de rien, nos capacités sont le prolongement de nos savoirs et de notre imagination fertile en toute heure.

Il faut croire en nous, en nos rêves et nos espoirs, car tout difficile qu'est le chemin, il est nécessaire.Il y aurai tant d'exemples, celui-ci me parait bien :

je suis fière de dire que j'ai repris le travail sur ma bd et que j'ai formé un groupe de rock, et je sais que ça marchera parce que j'y crois et que je fais ce qui me plait n'en déplaise aux autres (les incrédules).

Il n'est pas toujours évident de garder un moral de qualité, mais j'ai la chance d'être entouré par quelque unes des plus belles créatures de Dieu, en particulier mes deux meilleurs amis qui se reconnaitrons tels le grand, mince, et sombre vador, et la reine des étoiles aux yeux de diamants.

Hier soir, après le départ du seigneur Vador (le vrai, pas moi), je me suis allongé avec deux comics (bd), et ai regardé "la cité des enfants perdus" devant lequel je me suis endormis, non pas qu'il soit nul, ça a l'air d'être un très bon film, mais j'étais fatigué d'une longue et mauvaise journée, et c'est de tout son pouvoir que le sombre vador m'a redonné une forme et un sourir qui font qu'aujour d'hui, je lui dédicace le plus doux et le plus sincère des bonjour.

De tout temps on pleure pour avoir un ami, un frère, alors je souhaite à tout le monde de trouver son petit mike.

Pour Beaux Yeux, il faudrait toute une vie pour décrire le fond de ma pensée, mais que je résumerais en ces quelques mots, des choses disparaissent, les gens, les biens(matériaux et immatériaux), la vie, mais ce que l'on batît avec  ceux pour qui il n'est nul besoin de parler pour se comprendre et pour se ressentir est éternel.

Je l'aime elle, et je l'aime lui.

Dans leurs mains je pleure,

car ils me sont plus qu'amis,

mot pour mot, mike et sév colorez à jamais ma vie.

 

Ecrit par vador, le Vendredi 16 Avril 2004, 11:23 dans la rubrique Billets d'humeur.

Commentaires :

pherine1
pherine1
18-04-04 à 13:49

Et moi aussi je t'aime mon très cher ami. Une chose si précieuse que de vous avoir vous deux :)
L'un ne va pas sans l'autre.
Je serai ta supporter pour tes projets quelques qu'ils soient!

Je t'embrasse fort ;)
S.