Les plus beaux paysages ne sont pas forcément les plus gaies,
dans mon exploration de la tristesse je découvre un univers dont peu de personnes connaissent la profondeur et la beauté.

Le noir a sa propre lumière, et on y voit souvent mieux que l'on pourrait le croire, car la peur n'est pas une ennemie, elle est une source de motivation.
'Accepter les bonnes choses' peut aussi se prononcer 'accepter de souffrir et de savoir pourquoi et comment y remedier'.

La décéption laisse la place au meurtre de son propre coeur, on ne veut plus ressentir par peur de mourrir d'amour ou d'un autre sentiment, alors on se dit 'prenons les sombres chemins de notre funeste destinée, car le monde est mort alors vive le monde'!

Mais quel monde?
Celui qui nous pèse?
Celui qui ne récompense pas nos actes?

Pourquoi ne pas repeindre ce monde qui se noircit de l'intérieur, pourquoi ne pas redonner un nom à ce mot qu'est amour et finalement l'appeller inconstence.
Au final, ce ne sont que des mots plutôt optimistes, car on soigne ce qu'on peut ressentir, et on repeind ce que l'on peut voir.

Et pas besoin de lunettes pour voir que ce qui nous manque c'est tout simplement l'amour, le vrai, celui qui malheureusement n'existe plus beaucoup, ou alors il est fort bien caché.

Les ténèbres sont éclairées et ne sont pas plus moches que les lumières du jour.